APPRENDS-MOI… (chap. 9)

Puisqu’elle était lancée, voilà enfin LA scène que tout le monde attendait, livrée par @dwarfy en personne ! Je vous laisse profiter de la poésie de l’instant et vous souhaite une bonne lecture !

– Votre humble Pucedepoesir –

Chapitre 1Chapitre 8

C’est un vertige qui nous étreint : celui de l’intimité offerte, enfin. 

Dans le creux d’une vague, lorsque nos bouches impétueuses se ferment au ressac des langues complices, je respire à sa source le souffle qu’elle expire, alizé grisant et capiteux… je manque de défaillir et il me semble que l’azur azur se déverse et inonde chaque recoin de mon espace crânien… aussi, chaque neurone s’enivre, explose et se soumet à cette prise de possession aérienne.

Je suis obligée de me retirer, de poser doucement mon front contre le sien… ma poitrine s’est évasée et palpite. Tandis que je me remets un instant de ce fougueux dialogue, Violette s’empresse de voguer sur mon visage : ses lèvres brûlantes déposent de tendres baisers… joue… œil… tempe… front… pommette… œil … joue… mais elle ne résiste pas et, presque imperceptiblement, vient me trouver dans l’obscurité des yeux fermés, en survolant mes lèvres entrouvertes.

C’est un voile d’une extrême légèreté qui vient me recouvrir toute entière. Je capitule et ne sais plus qui je suis, où je suis, où mon corps s’arrête et où le sien commence… Nous avons disparu, évaporées, loin derrière les sensations qui nous assiègent. J’entrouvre les yeux et lui souris. Elle me répond par un sourire franc et paisible. Et pour ne faire plus qu’une, nous nous étreignons fort. Nos têtes reposent sur l’épaule de l’autre. Ses cheveux chatouillent le bord de mon visage émotif. Instinctivement, nos corps se sont mêlés et je sens mon bassin, mes cuisses, mes genoux chercher son contact.

Pourtant, je m’éloigne lentement, la regarde… L’envie irrépressible de sentir sa peau, de la goûter m’arrache à cette trêve béate. Je décide alors de me lancer à la conquête de son corps en alerte, prêt à accueillir mes explorations. C’est sa mèche que je commence par repousser du revers de la main. Mes doigts s’infiltrent dans ses cheveux soyeux et sillonnent cet univers éthéré. Sa nuque se raidit sous mes caresses et je trébuche sur ses clavicules avant de m’aventurer sur sa poitrine. Elle porte un décolleté prononcé qui m’impose et m’oppose néanmoins la frontière de sa pudeur.

Je voyage alors dans cet univers galbé et sous les encouragements de ses soupirs, j’empiète sur cette terre satinée et sacrée en passant le bout des doigts sous le tissu résistant. Prise de convulsions, elle me serre contre elle. Nos bouches se retrouvent et entament une nouvelle fois leur débat complice. Ses mains m’enserrent le visage et soudain, elle me tend son cou et gémit. Mes lèvres vagabondent et se laissent attirer par le trésor qui orne sa poitrine, ce fameux grain de beauté qui avait déjà attiré mon attention.

Je ne peux plus supporter le tissu auquel mes lèvres font face. Comme dans une valse ordonnée, elle retire rapidement cet obstacle et, en renversant sa tête en arrière, s’abandonne à mes pressions tépides et charnues. Je m’égare inconsciemment sur ce continent de douceur, enfin découvert.

Revenue à elle, elle tire sur ma chemise et son œil malicieux me prévient d’une incursion imminente. Un à un, elle déboutonne les verrous qui renferment mon cœur affolé. Comme pour dissiper un brouillard dense, elle balaie de ses deux mains le coton rayé. Elle pose son empreinte sur mes seins. Un silence immobile tournoie autour de nous. Un de ces silences qui avertit de l’orage à venir.

La chemise glisse le long de mes épaules qu’elle effleure et presse. Tout à coup, elle me prend par la main et m’entraîne dans le couloir sombre où elle demeurait il y a encore quelques instants ou bien il y a une éternité. Déboussolée, je la retiens et la plaque contre la surface froide de ce tunnel ténébreux : « Attends… ». Pas le temps d’hésiter, elle me repousse et me pivote… Aaah ! Un froid terrible et pénétrant s’empare de mon dos. « Attendre quoi ? me rétorque-t-elle, je te veux. »

Ce souffle dans le creux de mon oreille me fait chanceler. Elle le sent et maintient fermement nos mains enlacées. Commence alors une tempête impétueuse, une collision houleuse… et je ne peux qu’abandonner ce flottement prohibé. Définitivement, je renonce à toute forme d’entendement. Elle ondule son buste dénudé sur le mien et convertit ma rigidité à sa souplesse. Dans une osmose sans concession, elle me conduit dans sa chambre, éclairée par une lampe à sel. L’atmosphère embrasée de la pièce projette ce que nos sens transpirent.

Lorsque nous heurtons le bord du lit, nous nous renversons d’un commun accord. Notre tornade file sur l’océan safran des draps et mon corps, métamorphosé en chaloupe, recueille sa gravité. Nos jambes s’entrecroisent et souffrent l’épaisseur du jean. Au loin, nos baisers tumultueux troublent la sérénité du lieu : nous voguons sur les flots blanchissants… sur les vagues déchaînées du désir.

Dans la tourmente de nos caresses, je sens une chaleur terrible se propager entre nos cuisses volubiles. Violette, transie, m’agrippe et se jette en arrière. Je la dévore de baisers en bravant des rafales plaintives. Ivre, ma main s’achemine au gré des vents ardents vers sa ceinture. Débouclée. Mes doigts s’attachent alors à apprivoiser les serrures de sa toile marine, qui abdiquent en un instant. J’ose rompre cette fusion thermique, me relève et libère ses jambes magnifiques de l’écorce rugueuse qui les recouvrait. Je répète la manœuvre et me dévoile devant ses regards lumineux.

Nous voilà presque nues, telles des offrandes réciproques et la douceur de sa peau m’emporte dans un monde séraphique. Mélodie extatique de deux épidermes qui s’entretiennent et se passionnent.

Une accalmie s’empare de nous, débarrassées des carcans et légères comme des cirrus voilés. Contrairement aux ennuis maritimes, nos corps flottent et tanguent sur les ondes chatoyantes. Je me suis allongée près d’elle, versée sur son visage, la tête accoudée. D’un mouvement de bassin, elle se colle contre moi et nous ne formons plus qu’un détroit aux roches mouvantes.

Nous partons en exploration de ces territoires vierges. Les falaises escarpées de nos épaules roulent et s’enroulent. Je veux apprivoiser chaque centimètre de sa peau qui se crêpe et se fronce et bourgeonne sous mes doigts prévenants. Brûlants. Elle s’amuse à tracer des lignes et des arabesques sur ma poitrine et finit par dégager lentement la bretelle brodée qui menotte l’accès à mes seins.

Cette libération m’émeut et je veux aussi délivrer son épaule de ce joug et de tous les autres jougs qui me séparent de sa peau enivrante. D’un claquement de doigts l’accroche s’incline cataclysmique : ses chairs respirent et se détendent. Ma main s’entête et, sans que je ne puisse encore baisser mes regards courtois et discrets, ôte la matière superflue. C’en est trop ! J’explose à la vue de ces boutons roses qui fleurissent sous mes yeux. Il me semble qu’un arôme argenté brille dans le fond de mes narines… Je cède à mes pulsions et me loge au creux de ces monts merveilleux.

Une frénésie incontrôlable m’emporte et s’alimente lorsque Violette laisse échapper quelques sons indistincts au milieu des expirations de plus en plus prononcées. Elle passe ses mains entre mes cheveux et insensiblement me guide sur son plexus, puis sur son ventre que je découvre comme l’on découvre un continent inconnu. Bien sûr qu’elle veut que je poursuive cette descente infernale dans les braises de son désir palpable… mais il est trop tôt.

Je ne m’autorise pas encore le chemin qui mène à ses ruisselantes richesses. Je veux inspecter et prospecter l’étendue de son dos longuement capturé par mes doigts dilatés… Alors qu’elle croit enfin obtenir satisfaction, je la chavire, l’accoste et la domine… Ô merveille hâlée ! Ses omoplates tigrées resplendissent et sa taille subtilement marquée appelle mes baisers.

Je ne peux m’empêcher de griffer amoureusement son dos jusqu’à ses fesses tendres et rebondies. Très rapidement, j’ôte le peu de dentelles qui maquille ma poitrine et fond sur ma proie aux aguets. Je m’arrête à quelques millimètres de sa peau et l’effleure du bout des seins, durcis par l’excitation. Elle pousse un gémissement et serre mes mains enfin prisonnières des siennes. Je sens son bassin bouillonner sous mes cuisses… déflagration instantanée.

Comme répondant à l’appel, mon bassin, tel un balancier, s’ébranle et oscille. Mon sexe gorgé se laisse bercer sous les notes mélodiques de nos corps symbiotiques. Perte de connaissance… hypnose… la pièce tourbillonne autour de nous tandis que monte en moi un chant symphonique. Essoufflée, je me laisse glisser sur le lit.

C’est alors que Violette se dresse et m’habille de baisers mêlés de morsures. Corps vaporeux… poitrines frémissantes… extrémités inquisitrices… tout en ondulant, elle se faufile entre mes courbes et s’engage près du foyer fiévreux et rutilant. Mes membres contractés ne peuvent plus se retenir de rebondir sur les salves du plaisir. C’est à mon tour de tenir du bout des doigts la tête de Violette qui charme l’intérieur de mes cuisses échauffées.

Lorsqu’elle approche son visage, je sens, à travers le tissu tendu, son souffle chaud et humide. Ses lèvres se posent sur mon pubis accueillant, pincent délicatement ma peau encore défendue et s’amusent avec les frontières qui lui sont soumises. Tout à coup, un air frais me saisit : elle a soulevé et repoussé le treillage fin et contemple mon intimité émue. Lorsque nos lèvres se rencontrent pour la première fois, j’ai l’impression qu’elle susurre une formule enchanteresse et que tout mon être s’abandonne à ses ensorcellements.

Je suis otage de ces succions, otage de sa langue impétueuse et infiniment tendre, otage de sa langue qui extravague méthodique dans le chaos de mes sensations. Imperturbable, elle poursuit son œuvre tandis que j’implose, le souffle saccadé, la tête ballottée par les spasmes d’une poitrine sur le point de se déchirer. Mes orteils tyrannisés par des crampes sourdes tentent de résister à toutes les braises nerveuses qui se dispersent dans mon corps et me consument.

Soudain… éclat… débordement… convulsion… commotion… et cette larme qui coule le long de ma joue enluminée. Après ce séisme luminescent, un à un mes muscles s’apaisent et s’oxygènent tandis que Violette me retrouve et me recouvre de tout son être aux abois.

Loin de me perdre de vue dans ces nuées orgiaques, elle ne me laisse pas une seconde de répit et m’embrasse fougueusement… « J’ai aimé ton sexe… J’ai aimé tes cris et tes mots… J’ai aimé tes tremblements… Maëlle… » Sa voix me rappelle à la vie et encore engourdie, je la prends dans mes bras et la serre autant que je le peux, vidée de toute force. Nous restons un moment immobiles, comme si nous avions trouvé dans l’imbrication savante de nos corps satisfaits, l’empreinte que nous voulions laisser de nous au monde. Mais rapidement, je sens ma cuisse devenir le réceptacle sacré de son désir liquoreux. Je succombe alors à cette impérieuse invitation.

Après de doux effleurements le long de ses bras, de sa taille, de son ventre… mes doigts flirtent avec la naissance de ses seins, mes paumes tentent d’apposer leur empire sur ses pommes caramélisées… mais ma bouche ne résiste pas à l’envie de captiver l’île sauvage qui se dresse, inconstante, sous les vents du midi. Ivresse marine… et le courant m’emporte sur l’océan de ces chairs délicieuses.

Voyage insouciant vers cette faille cryptée où se distille un Opium savamment concocté… Impatiemment, j’arrache ses poèmes arachnéens et affronte le pistil qui perle. Cupide, elle tord les draps qui craquent… Non… elle ne me sent pas encore mais me devine face à la clé de voûte, déterminée et contemplative.

« Maëlle… », supplie-t-elle. Conquise, je finis par me soumettre. Je respire ses pétales gonflés et converse dans une langue lunaire avec ses palpitations embaumées. Son bijou devient le centre créatif d’une orfèvre inspirée… et dans un envoutement savoureux, je me perds dans les labyrinthes de son plaisir… Elle gémit, animale. Et ses cuisses indociles se contractent, ses fesses fébriles tremblent… à peine ai-je abordé l’antre inondé, qu’elle explose en Echinopsis Mirabilis*.

Le ciel nocturne s’est fendu sous son cri volcanique, Violette.

Chapitre 10

21 commentaires

  1. @dwarfy Merci ! 😀
    Les Yaggeur(e)s attendaient cette suite depuis un bon moment je pense ! (surtout @caro qui semblait de plus en plus impatiente au vu de ses précédents commentaires 🙂 )
    Déjà à la lecture du huitième épisode je savais que ton talent ne me décevrait pas.
    Que dire ? Tu as une façon d’écrire, d’employer les mots, les expressions qui illustrent très bien tes propos et les sensations que peuvent ressentir les lecteurs. (du moins, moi 😀 )
    Te lire c’est juste Wahou… ! (Je suis vraiment désolée pour ce manque de vocabulaire mais je suis incapable de trouver un autre mot qui puisse décrire ce que je ressens 🙂 )
    J’ai remarqué qu’à la fin on trouvait le fameux  » à suivre…ou pas »
    Perso, même si j’adore cette nouvelle, je ne voudrais pas de suite.
    Neuf épisodes c’est bien, après j’ai peur que se soit trop long.
    Bien sûr je ne te demandes pas d’arrêter d’écrire ! (Seigneur non ! 😀 ) Rien ne t’empêche d’en écrire une nouvelle ! ! 🙂 😀 😀

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  2. @lajuile Merci pour ce beau retour. J’ai bien pensé à vous en écrivant ces paragraphes (même si je dois avouer que c’est une muse en particulier qui m’a inspirée…). C’est mon premier écrit érotique et effectivement, j’ai essayé de me concentrer sur les sensations… parce que les sensations, ya que ça de vrai ! 😉 Désolée pour les mots compliqués, c’est aussi une manière de me cacher derrière une certaine pudeur… 🙂
    J’avoue que je me suis bien attachée à Maëlle et Violette… Je ne sais pas ce qu’en pense @pucedepoesir mais bon, je n’exclus pas une suite. On verra qui prendra la plume… ou pas, d’ailleurs.

    ps : @lajuile n’aie pas de scrupules à te laisser contaminer par les smileys 😀

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  3. @pucedepoesir ne pense plus. @pucedepoesir s’est vu pousser un sacré poil dans la main ces derniers jours et a été enchantée d’avoir trouvé en @dwarfy une relève solide et efficace. @pucedepoesir va arrêter de parler d’elle à la 3ème personne, parce que c’est vraiment ridicule.
    Je n’ai pas ta pudeur dans l’écriture érotique (ni ta maîtrise des métaphores), et j’avoue que j’aurais des scrupules à continuer cette nouvelle, ça romprait tragiquement la poésie de la chose (comme @Lajuile, j’estime que ces épisodes 8 et 9 s’autosuffisent ! 😀 ). Toutefois, je pense que les personnages autant que leur situation mériteraient une vraie fin. Cette joute érotique, aussi délicieuse soit-elle, n’en est pas une. Alors soit tu poursuis ( 😀 😀 😀 ), soit, au risque de rompre le charme, je me retrousse les manches et je m’y remets (mais après le rush de ces maudits TPE), soit nous tentons un 4 mains comme le suggérait @juls ! 😉

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  4. Et bien !!! il était temps : ça faisait 6 mois qu’elles attendaient ce moment, ça a du durer 30 secondes 😀 😀 😀 😀 maintenant que l’affaire est consommée, on attend la suite (ou pas) 😀 😀
    Excellent épisode 9 @dwarfy merci

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  5. @sossourires comment ça, ça a duré 30 secondes ??? 😉 😉 😉 Entre les lignes, ya une éternité qui s’écoule … 😀
    @pucedepoesir Comment ça, tu penses plus ? Le poil dans la main, tu vas vite fait l’arracher… 😉 😀 et tu ne casseras rien de tout en prenant la suite, j’t’assure. 😉 Alors soit tu t’y mets, soit on essaie une fin à quatre mains… mais ça va être de l’expérimental… :s

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  6. J’aime la non pudeur de @pucedepoesir, c’est vrai… Mais celle ressentie à travers cet épisode, n’est pas déplaisant non plus. Pour une première, c’est… Pas mal du tout. 😉
    Après je suis curieuse de savoir qui sont ces demoiselles en GRANDE illustration au début? 😀

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  7. Mais où est @Caro ? Ramène-toi, toi qui attendais la scène érotique si impatiemment : elle est enfin arrivée ! 😀
    En tout cas, bravo @dwarfy pour ta belle maîtrise de la langue (française ;))…

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  8. @dwarfy @pucedepoesir MERCIIII !!!
    @dwarfy c’est vraiment un très beau premier texte de style ! Superbe vraiment.
    @pucedepoesir merci d’avoir permis à @dwarfy de te relayer. Cependant même si le calme est apaisant après cette tempête de sensation, il s’agit il me semble d’un flashback… l’histoire devrait donc continuer… ne serait-ce que pour savoir si c’était une tempête d’un soir, ou les prémices d’un ouragan 😉

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  9. Je dois d’abord dire que j’ai été perturbée par la première image de ce 9ème épisode 😀
    Ensuite je renouvelle mes félicitations à @dwarfy d’avoir collaboré à cette épopée pour ENFIN arriver à ce neuvième épisode taaaant attendu 😀 Je suis ravie de cette fin (vraiment, une fin comme ça ?) 🙂
    Par contre si je dois émettre une toute petite critique – qui finalement n’en est pas vraiment une – et par goût personnel, je dirai que ce texte manque de… pénétrations 😀 😀 Enfin jdcjdr 😉 😉

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  10. en tout cas, je ne sais pas si c’est moi qui n’est pas l’habitude de lire de la grande littérature ou des poèmes qui dégoulinent de sensualité, mais en tout cas bravo, c’est vraiment bien écrit. Au début j’avais l’impression de lire un immense poème, j’en avais presque oublié l’érotisme du texte 😉 . Merci, c’est hot de lire ça pour commencer le week end.

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  11. J ai voulu continuer à vous lire avant de dormir et il est déjà trois heures du matin, ça va être du joli joli au travail demain !

    Après votre commentaire, je me suis décidée à me balader un peu plus loin sur votre blog et je suis tombée sur cette nouvelle qui n à pas le même style que « Les dessous du corps enseignant », je trouve qu il y a des images qui sont poétiques et très belles et même si l on s entre la différence d écriture avec Dwarfy ce qui est normal, cela ne brise pas l histoire bien au contraire. J ai particulièrement apprécié l image marine qui apporte une poésie imagée des plus sensuelle et redoutable.
    J aime à lire la spontanéité et la simplicité de l écriture de Bulledepoesir parce que sans mots complexes et savants elle réussit à parler d émotions qui sont elles, complexes et indéfinissables. C est bien pour cela que son écriture sans être simpliste, est simple et permet de peindre la fulgurance des émois de l âme. Et Dwarfy apporte sa touche personnelle sans rompre le charme initial, un grand bravo !

    Ps : « Les mains libres » c était à mon programme du bac et je n avais pas du tout aimé bien que je ne trouve pas cela inintéressant. Cela m à fait sourire que de voir cette référence ici 🙂

    Je poursuivrai ma lecture un autre moment, bonne nuit !

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    1. Inutile de lire jusqu’à pas d’heure, Emilie, ces nouvelles resteront en ligne un bon moment encore ! 😉
      Dwarfy est pudique, mais c’est une reine de la métaphore. Dommage qu’elle n’écrive pas plus souvent… @Dwarfy, si tu nous entends… 😉
      Quant aux « mains libres », ils faut les relire. Et les aimer ! 😀

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